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Miscellannées

Et dire que l’on se croit subversifs…

Je viens de finir trois ans avant mon année de naissance. Je suis déprimé. Dégoûté. Je me sentais subversif. Je me sens soumis. Il a réussi. Je me sentais libre. Je savais, j’avais découvert les secrets. Et petit à petit, il m’a retourné l’esprit. Il sait comment. Il a tout manigancé petit à petit. Avec ses animaux, je ne risquais rien, ils était éloignés, lafontainisés. Il ne me parlait que d’un temps que les moins de 20 ans ne pouvait assurément connaître puisque tout paraissait si beau. Cela ne m’a pas dérangé. Mais ce roman dans un monde si proche. Il a tout monté discrètement, insidieusement. Et la fin arrive comme un cheveu sur la soupe apparemment. Mais non ! Il faut le relire, le voir, savoir que ce qu’il nous fait croire c’est ce qu’il fait. Il est très fort. Je l’aime. J’aime Big Brother.

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